Voilà donc deux requiem, deux monuments chorals français. Que ce soit la douce “berceuse de la mort” pour évoquer l’incontournable Requiem de Gabriel Fauré, ou que l’on parle du plus discret mais non moins monumental Requiem de Maurice Duruflé.

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« Ce Requiem n'est pas un ouvrage éthéré qui chante le détachement des soucis terrestres. Il reflète l'angoisse de l'homme devant le mystère de sa fin dernière…Il tend à traduire les sentiments humains devant leur terrifiante, inexplicable ou consolante destinée»

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Duruflé peint ici une œuvre remplie d'une foi intense et profonde. En se réappropriant le chant grégorien et en le mêlant aux douces harmonies propres à son écriture, Maurice Duruflé réalise là un monument de la musique sacrée.

 

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Les Quatre motets sont de cette même veine. Nous les proposons ici alternés par des commentaires improvisés à l’orgue, dans la grande tradition de l’improvisation française.

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Un programme riche en sonorités, subtilités et couleurs où dialoguent et se reflètent l’instrument chœur avec l’instrument orgue.

 

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La musique de notre temps, sous la plume de Thierry Escaich, parachève ces résonances avec son prédécesseur à la tribune de Saint-Etienne du Mont.